Ca ne fais vraiment pas longtemps que la rutabaga fait partie des aliments que je cuisine. Pour être tout à fait honnête avec vous je pense que je n’en avais mangé avant l’an derniers. Mais comme j’essaye maintenant de ne plus cuisiner que de saison et que j’aime varier il a bien fallu faire des découvertes. Et gustativement parlant j’adore découvrir de nouvelles choses (enfin c’est aussi vrai de façon général ).
Je vous en ai déjà parlé, mais je commande régulièrement mes légumes pour la semaine sur Vite mon marché car ça me permet de garder mon dimanche et mon jeudi (mes deux jours off) pour faire autre chose que des courses. En plus de ça je sais que la qualité est au rendez vous avec des produits de qualité, locaux et souvent bio ou agriculteur raisonné. Et à force d’y voir de la rutabaga je me suis dit que j’allais tester. J’avais d’abord essayer une version frite l’hiver derniers mais cette année j’ai eu envie de les tester en purée et j’ai adoré.
Je trouve que leur gout se rapprocher un peu du navet. Je sais que ce n’est pas le légume le plus facile à apprécier mais perso je l’ai toujours beaucoup aimer. J’ai tout de même eu envie d’adoucir ce gout avec un peu de miel et d’épices qui me font tellement penser à l’automne. A la maison on a adoré le résultat et j’espère que vous aimerez aussi!
Ingrédients
- 1 rutabaga
- 1 c.c de miel
- 1 pincée de poudre de gingembre
- 1 pincée de poudre de cannelle
- Huile d’olive
- Thym
- Eau
- Sel
Instructions
- Faire cuire la rutabaga dans une eau salée.
- Une fois qu’elle est cuite, retirez l’eau et la réduire en purée avec un filet d’huile d’olive, le miel, le gingembre et la cannelle.
- Un peu de thym frais et le tour est joué.
A propos de la Rutabaga:
Je vous disais plus haut que je lui trouve un gout de navet et c’est bien normal puisqu’ils font tout les deux partis de la même famille des brassicacées. Au Canada ce légume fait partie intégrante de l’alimentation de base au même titre que la pomme de terre ou les carottes. En Europe la seconde guerre mondial lui a laissé une mauvaise « réputation » puisqu’il s’agissait d’un des seuls aliments non rationnés et qui a donc été largement consommé. A l’après guerre il a donc été rapidement oublié et revient petit à petit sur le devant de la saine notamment en agricultures biologique grâce a son intérêt nutritionnel. Il en effet pauvre en calorie et contient des taux intéressants de potassium, calcium, soufre et phosphore.
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